Frontignan- Une nouvelle approche pour faire fuir les Ă©tourneaux ! Frontignan - Une nouvelle approche pour faire fuir les Ă©tourneaux ! France - One Voice obtient qu'Air France cesse de transporter des primates pour l'expĂ©rimentation animale ! | MĂšze - Coup de Coeur de Femmes 2022 - La sensibilitĂ© fĂ©minine rĂ©compense l'Ă©lan coopĂ©ratif | Frontignan - Une nouvelle Leffaroucheur Ă©lectronique BR2 est reliĂ© Ă  2 haut-parleurs modulables . Le systĂšme anti-oiseaux BR2 Ă©met des cris d'oiseaux en dĂ©tresse et de prĂ©dateurs, enregistrĂ©s sur une « clĂ©-programme ». L'enregistrement sur support externe nous permet d'envoyer au client de nouveaux programmes pour rĂ©pondre Ă  une nouvelle problĂ©matique. La tousles cris et chants de rapaces et oiseaux de proie au format wav et mp : aigle, buse, faucon, hibou debird bande repulsif anti pigeon effaroucheur d oiseaux pour Ă©loigner pigeons corbeau et plus Ă  utiliser avec repousseur anti pigeon a Vendupar : AVICONTROLE NORD. Reproduisant le bruit de cris d'oiseaux en dĂ©tresse et celui d'oiseaux prĂ©dateurs, cet Ă©metteur AVILEC S1 dĂ©range et repousse les volatiles nuisibles (pigeons, Ă©tourneaux, mouettes et goĂ©lands) de vos espaces. L'AVILEC S1 peut se brancher soit sur une prise secteur soit sur une Prix sur demande. Obtenir Bruitagesoiseaux - rapaces (81 bruitages) Tous les cris et chants de rapaces et oiseaux de proie : chouette, aigle, buse, faucon, hibou, des ambiances de fauconnerie aigle Voir tous les bruitages "aigle" ambiance de fauconnerie Voir tous les bruitages "ambiance de fauconnerie" buse Voir tous les bruitages "buse" caracara zwtA. Bonjour Ă  tous ! Vous avez peut-ĂȘtre entendu parler d’une maladie. On en parle un peu en ce moment. Mais si ! Vous en avez forcĂ©ment entendu parler. La COVID-19. Ça vous dit quelque chose ? Tout le monde en parle tout le temps mais vous savez bien ce que c’est ? Je pense que non. Alors je vais essayer de vous expliquer un peu en rĂ©pondant Ă  des questions simples que tout le monde se pose. Commençons. Que veux dire COVID-19 ? C’est un acronyme. Un acronyme c’est un sigle qui se prononce comme un mot ordinaire. Je dĂ©taille ce sigle. COronaVirus Disease. Cela vient de l’anglais et cela signifie maladie provoquĂ©e par un coronavirus’. Le 19 indique que cette maladie est apparue en 2019. Vous avez remarquĂ© qu’on dit LA maladie provoquĂ©e par un coronavirus. On dit donc LA COVID-19. Ben oui 🙂 Quels sont les symptĂŽmes de la COVID-19 ? Les plus connus sont la perte du goĂ»t et de l’odorat. VĂ©rifiez que vous sentez bien. Attention ! Un goĂ»t mĂ©tallique dans la bouche peut Ă©galement ĂȘtre un symptĂŽme. Faites bien attention. Les autres symptĂŽmes frĂ©quents sont l’essoufflement, la fatigue, des maux de tĂȘte, des courbatures un peu partout. Tout cela ressemble Ă  la grippe
 Il y a d’autres symptĂŽmes un peu plus rares. Je ne vous les citerai pas ici. Qu’est-ce qu’un coronavirus ? C’est un virus qui semble porter une couronne. Photographie de coronavirus observĂ©s au microscope Ă©lectronique Les coronavirus forment une famille de virus. Il en existe plusieurs. Celui qui provoque la COVID-19 est le SRAS-CoV-2. C’est encore un sigle. Syndrome respiratoire aigu et sĂ©vĂšre provoquĂ© par un coronavirus. Le 2 indique qu’il y en a un autre. C’est le MERS-CoV ce qui veut dire Syndrome Respiratoire du Moyen Orient. Il est apparu en 2012 mais ne s’est pas beaucoup propagĂ©. Mais qu’est-ce qu’un virus ? Attention c’est un peu compliquĂ©. Un virus n’est pas une cellule. Il n’y a pas de membrane , cytoplasme et noyau comme les cellules. Il est constituĂ© d’une capside elle-mĂȘme formĂ©e de petits Ă©lĂ©ments rĂ©pĂ©titifs. Il contient une toute petite information gĂ©nĂ©tique. L’information gĂ©nĂ©tique c’est un peu comme le plan d’une cellule, d’un individu ou d’un virus. Comme un virus est trĂšs simple, l’information gĂ©nĂ©tique est trĂšs petite. J’ai failli oublier de vous dire qu’un virus c’est trĂšs petit. Beaucoup plus petit qu’une cellule humaine. Comment le virus est-il transmis ? La transmission d’un virus, ou d’un microbe, est appelĂ©e contamination. Comment pouvons-nous ĂȘtre contaminĂ© ou contaminer quelqu’un ? Il y a plusieurs modes de contamination. Les principaux vecteurs de contamination sont les aĂ©rosols. Qu’est ce que c’est encore que ça ? Ce sont de toutes petites gouttelettes d’eau qui sont rejetĂ©es par le corps quand on expire, qu’on parle, qu’on baille
 On en produit tout le temps des aĂ©rosols mais ils ne se voient pas. Le virus est vraiment tout petit minuscule alors il peut ĂȘtre dans ses aĂ©rosols. Les aĂ©rosols flottent dans l’air. Ils ne tombent presque pas parce qu’ils sont vraiment trĂšs petits. Le moindre courant d’air les relance. Du coup, ils se dĂ©placent partout ces aĂ©rosols. Ils peuvent traverser une piĂšce sans problĂšme les aĂ©rosols. Ils mettent un peu de temps pour arriver tout au bout de la classe mais ils finissent toujours par y arriver. Imaginez que je mette du produit qui sent bon grĂące Ă  une bombe. Je fait pschiit comme ça. On voit des petites gouttes. Mais il y a des tas d’aĂ©rosols qu’on ne voit pas. Et on les sent dans toute la piĂšce. C’est bien la preuve qu’ils se dispersent un peu partout. Alors c’est pareil pour les aĂ©rosols que rejette un humain. Puis, un autre humain respire. Il inhale les aĂ©rosols et il est contaminĂ©. L’autre mode de contamination est par la bouche. Observez bien un humain. Vous verrez qu’il porte sans arrĂȘt les mains au visage et souvent Ă  la bouche. HoplĂ  ! Le virus entre dans les voies respiratoires. Si je rĂ©sume, la COVID-19 se transmet par les aĂ©rosols et les contacts entre les mains et le visage. Que pouvons-nous faire pour limiter la contamination ? C’est trĂšs simple. Pour se dĂ©barrasser du virus sur les mains, il faut se les laver avec un gel hydro-alcoolique. Comme vous ĂȘtes de gentils Ă©lĂšves vous le faites en rentrant en classe. Il faut continuer. Et puis il faut porter le masque sĂ©rieusement mais vraiment bien. Comme ça vous gardez vos aĂ©rosols pour vous et vous empĂȘchez les aĂ©rosols des autres de vous contaminer. Il n’y a que cela qui fonctionne mais ça fonctionne bien. La preuve est que personne n’a de maladie cet hiver. Personne ne tousse en classe. D’habitude, en cette saison, il y a des tas d’élĂšves enrhumĂ©s, des gastros, des grippes
 LĂ  il y en a presque pas. Comment faire Ă  la cantine ? Le problĂšme de la cantine est qu’il faut enlever le masque. Ce n’est pas possible de manger avec le masque. Pendant le temps du repas, le risque de contamination augmente. Comment faire ? C’est trĂšs simple. Vous mangez vite et en Ă©vitant de parler. Puis vous remettez votre masque pour papoter avec vos camarades. Je sais que c’est embĂȘtant mais vous avez envie d’ĂȘtre contaminĂ©s vous ? Moi non. Et je ne veux pas contaminer les autres si par malchance je suis moi-mĂȘme contaminĂ©. Ce que pourrait faire l’école est simple aussi. Il faudrait vous installer une place sur deux. Avec personne en face. Les aĂ©rosols se dĂ©placeraient quand mĂȘme mais si on ne parle pas beaucoup, on limite fortement le risque de contaminer et d’ĂȘtre contaminĂ©. Comment agit le virus ? LĂ  aussi c’est un peu compliquĂ©. Le virus se fixe sur une cellule des voies respiratoires cavitĂ© nasale, cavitĂ© buccale, trachĂ©e, bronches, bronchioles, alvĂ©oles pulmonaires. La cellule le fait entrer. L’information gĂ©nĂ©tique du virus s’intĂšgre Ă  celle de la cellule. A partir de lĂ  c’est notre cellule qui fait tout le travail. Elle est lĂ©gĂšrement modifiĂ©e et produit des tas de virus. Ces virus s’accumulent dans la cellule. Quand la cellule est remplie de virus elle Ă©clate et les nouveaux virus sont libĂ©rĂ©s et vont se fixer sur d’autres cellules. Une cellule peut produire des dizaines ou des centaines de virus. Ce sont donc des dizaines ou des centaines d’autres cellules qui vont ĂȘtre infectĂ©es ensuite. Ça va trĂšs vite. Comment expliquer les symptĂŽmes de la maladie ? Vous avez compris que le virus utilise nos cellules et les tue. Il s’attaque en prioritĂ© aux cellules des voies respiratoires, en particulier celles des alvĂ©oles pulmonaires. Vous savez que les alvĂ©oles pulmonaires permettent de mettre du dioxygĂšne dans le sang. C’est indispensable ça. Si certaines de nos alvĂ©oles pulmonaires meurent, on respire moins bien. On s’essouffle. Si cela dure, on est fatiguĂ©. Puis des maux de tĂȘte apparaissent. C’est parce que le cerveau manque de dioxygĂšne, alors les vaisseaux sanguins gonflent pour essayer d’apporter plus de sang donc plus de dioxygĂšne. En gonflant, les vaisseaux sanguins appuient sur le cerveau et ça fait mal Ă  la tĂȘte. Comment se fait-il que les personnes ĂągĂ©es soient-elles plus touchĂ©es ? Actuellement 90% des morts de la COVID-19 sont des personnes ĂągĂ©es. Vieillir c’est fonctionner moins bien. Dans le corps, les cellules se renouvellent en permanence. Des cellules meurent mais d’autres apparaissent. Sauf qu’en vieillissant il y a de plus en plus de cellules qui meurent et de moins en moins de cellules apparaissent. C’est vrai pour leurs alvĂ©oles pulmonaires. Les personnes ĂągĂ©es en ont moins que quand elles Ă©taient jeunes. Elles s’essoufflent dĂ©jĂ . Alors si le virus tue des alvĂ©oles c’est tout de suite plus grave. Le variant anglais est-il plus contaminant ? D’abord je dois expliquer ce qu’est un variant. C’est quand il y a une petite modification Ă  la surface de la paroi du virus. Le variant anglais a une petite modification qui fait qu’il se fixe plus facilement Ă  la surface de nos cellules. Il est donc plus contaminant. Apparemment, mais je ne suis pas sĂ»r, il provoque moins de formes graves de la maladie. Les formes graves c’est quand on est obligĂ© d’aller Ă  l’hĂŽpital et parfois en rĂ©animation. Peut-on guĂ©rir de la COVID-19 ? La rĂ©ponse est oui. C’est mĂȘme ce qu’il se passe le plus souvent. On ne fait pas beaucoup attention Ă  ces chiffres lĂ . Je vous donne les chiffres du 12 janvier 2021. Personnes infectĂ©es 2 844 680 GuĂ©risons 208 997 DĂ©cĂšs 68 197 Une personne infectĂ©e est une personne chez qui le virus s’est dĂ©veloppĂ©. Parfois, la personne n’a pas de symptĂŽmes. Elle n’est pas malade. C’est ce qu’on appelle des porteurs sains. Ces personnes ne sont pas malades et elles ne peuvent donc pas guĂ©rir 🙂 Vous voyez vous-mĂȘmes que la plupart des personnes infectĂ©es sont porteuses saines. Les guĂ©risons ne reprĂ©sentent que 7% des personnes infectĂ©es. Les dĂ©cĂšs reprĂ©sentent seulement 2% des personnes infectĂ©es. En rĂ©alitĂ© c’est peut-ĂȘtre moins parce que des tas de personnes asymptomatiques n’ont pas Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©es. Ce n’est pas beaucoup 2% mais c’est beaucoup trop encore. Alors faisons ce que nous pouvons faire et qui fonctionne. Portons nos masques convenablement et lavons nous les mains. Et si vous voyez quelqu’un qui baisse le masque, grondez-le ! MĂȘme si c’est un professeur ou votre parent. Jeudi 8 Juin, An IV Max Bonomou, tu as une sortie avec le schola demain. » Le chevalier Oui Maxou. » Max Tu sors avec quelle classe ? » Le chevalier Une sixiĂšme. » Max La classe de Teddy ? » Le chevalier Oui 🙂 » Max OĂč allez-vous ? » Le chevalier Au MusĂ©um. » Max Au MusĂ©um ? Le MusĂ©um National d’Histoire Naturelle de la Ville-Capitale ? » Le chevalier Celui-lĂ  mĂȘme 🙂 » Max Tu vas au MusĂ©um Nationale d’Histoire Naturelle de la Ville-Capitale ! » Le chevalier Oui 🙂 Voudriez-vous venir ? » Max Tu nous proposes de venir, Ă  nous, tes petizours naturalistes ? » Le chevalier Oui Maxou 🙂 » Max D’accord ! Je file prĂ©venir les cousins ! LÉO ! SAMUEL ! DEMAIN NOUS ALLONS AU MUSÉUM ! AVEC TEDDY ! » LĂ©o et Samuel arrivent en courant. LĂ©o C’est vrai ? » Le chevalier Oui 🙂 » Samuel Kalisse ! Le musĂ©um ! » LĂ©o Rhooo la chance ! » Max Ben oui 🙂 Et en plus il y aura Teddy ! » LĂ©o Une classe de petizours ! » Le chevalier Il y aura aussi de vrais Ă©lĂšves. Je compte sur vous pour ĂȘtre sages. » Max Bonome, nous serons des petizours exemplaires ! » LĂ©o C’est promis ! » Samuel On sera trĂšs sages. » Le chevalier Pas de bavardages ? » Max Ben si ! Bonome, les sorties de la schola se font pas en silence ! On est pas des Chartreux nous ! Mais on parlera pas pendant tes interminables explications soporifiques. » LĂ©o Et on chahutera pas pendant le trajet dans la grande calĂšche. » Samuel Nous discuterons calmement et posĂ©ment. » Max Comme des gentillours 🙂 » Le chevalier D’accord. Alors allez vous dĂ©barbouiller et au lit ! » Max Oui bonome ! » LĂ©o Tu viendras nous border ? » Samuel Et nous gratouiller le front ? » Le chevalier Quand vous serez propres ! » Le lendemain matin, 6h, le rĂ©veil sonne. Max Bonome ! Debout ! Allez ! » LĂ©o C’est fini le dodo ! » Samuel Saute dans tes chaussettes ! » Le chevalier 😀 » LĂ©o Allez bonome ! » Samuel Sinon on te chatouille ! » Le chevalier Non, pas ça ! Vous portez dĂ©jĂ  vos sacs Ă  dos ? » Max On est prĂȘts nous ! » LĂ©o Allez, dĂ©pĂȘche toi un peu si tu veux avoir le temps de cafĂ©iner en chemin ! » Le chevalier D’accord
 DĂ©part dans trois minutes ! » Pendant la chevauchĂ©e
 Max Dis, c’est grand le MusĂ©um. Il y a la Grande Galerie de l’Évolution, les Serres, le Jardin des Plantes, la MĂ©nagerie
 » LĂ©o La Galerie de MinĂ©ralogie, celle de Botanique, l’Anatomie ComparĂ©e et la PalĂ©ontologie. » Max Qu’est ce qu’on va visiter ? » Le chevalier Le Jardin des Plantes et la Galerie d’Anatomie ComparĂ©e et de PalĂ©ontologie. » LĂ©o On va faire la botanique alors ! » Samuel Et l’Anatomie ! Chouette alors ! » Max On va voir des fossiles ! Des tas de fossiles ! Il y a des Dinosaures ? » Le chevalier Oui Max. » LĂ©o Des Dinosaures ! Rhooo la chance ! » Samuel Rholala ! Ça va ĂȘtre bien ! » On est arrivĂ©s au rendez-vous tout Ă©nervĂ©s. Et on avait hĂąte de voir Teddy. Teddy, c’est notre camarade de classe quand on va Ă  la schola. Souvent, dans sa classe, on papote tous les quatre. MĂȘme qu’une fois bonome nous a grondĂ©s parce qu’on perturbait ses cours. On a eu honte de nous et on s’est calmĂ©s trĂšs vite. AprĂšs, on chuchotait tout doucement. Puis, on a attendu que tous les Ă©lĂšves arrivent. Ils sont gentils les Ă©lĂšves et ils sont tous arrivĂ©s Ă  l’heure. MĂȘme avant l’heure. Et bonome a commencĂ© Ă  faire le chien de berger. Il est rigolo avec son troupeau d’élĂšves. Il tourne autour, les compte, les recompte, vĂ©rifie qu’ils vont bien, leur aboie dessus si ils sont pas sages ou qu’ils vont Ă  droite ou Ă  gauche. Un vrai chien de berger avec son troupeau 🙂 Et il dit des bĂȘtises pour les faire rigoler 🙂 Il peut pas s’en empĂȘcher. N’empĂȘche, qu’à la fin de la journĂ©e, il est tout fatiguĂ©. En plus, lĂ , il allait devoir faire le guide. Tu te rends compte Princesse ? Bonome a fait le guide au MusĂ©um d’Histoire Naturelle de la Ville-Capitale ! Mais ça je te le raconterai aprĂšs. LĂ , il fallait qu’on s’installe dans la grande calĂšche. Mais il y avait plein de place alors on a pu prendre un siĂšge pour nous quatre. Et on a papotĂ©. Et puis, comme on parlait des loups, LĂ©o s’est souvenu qu’il avait mis la revue EspĂšces dans le sac de bonome. Alors on a lu l’article sur le loup des Falklands. Regarde ! C’est nous ! On est sages non ? Les petizours avec leur copain Teddy. En fait, on a pas vraiment lu. Moi j’ai discutĂ© avec Teddy. LĂ©o Ă©tait plongĂ© dans ses pensĂ©es. Il devait rĂ©viser l’anatomie ou la palĂ©ontologie dans sa tĂȘte. Il y a que Samuel qui lisait vraiment. Samuel, il est trĂšs sĂ©rieux. Il Ă©tudie encore plus que LĂ©o. Mais c’est normal. Il est venu du Canada exprĂšs pour ĂȘtre le petitours naturaliste de bonome et vivre de belles aventures avec nous. Mais bon, il sait quand mĂȘme s’amuser. Et on s’entend trĂšs bien tous les trois. Avec Teddy aussi 🙂 Le Jardin des Plantes La grande galerie de l’évolution Nous sommes arrivĂ©s au Jardin des Plantes et bonome a commencĂ© Ă  faire le guide. Tout d’abord, il a expliquĂ© le Pays des Zoisos. Parce que tout le monde comprend pas. Le Pays des Zoisos il est pas difficile Ă  trouver parce qu’il est partout autour de nous. Bonome a demandĂ© aux Ă©lĂšves de faire silence et d’écouter. Et on a entendu un merle. On l’a cherchĂ© et, forcĂ©ment, on l’a trouvĂ©. Un merle noir C’est un merle noir. VoilĂ , c’est comme ça le Pays des Zoisos. Les Ă©lĂšves Ă©taient tout Ă©tonnĂ©s de voir un zoiso 🙂 Alors on a continuĂ© Ă  Ă©couter tous ensemble. Bonome a entendu une perruche Ă  collier. Elles crient fort les perruches Ă  collier et leur cri se reconnaĂźt trĂšs bien. Il y en eu plusieurs qui sont venues se poser sur un prunus. Une perruche Ă  collier Les Ă©lĂšves en revenaient pas de voir un si beau zoiso. Bien sĂ»r, certains ont cru que c’était un perroquet. Mais bonome les a dĂ©trompĂ© et ils Ă©taient ravis d’avoir fait la connaissance des perruches. Les perruches ont criĂ© et elles sont reparties. Mais les Ă©lĂšves, eux, avaient compris le Pays des Zoisos. Et aprĂšs ils nous en ont signalĂ© quelques uns. En vrai, nous, les petizours, on les avaient dĂ©jĂ  repĂ©rĂ©s. Mais on leur a pas dit 🙂 Les Ă©tourneaux, on les avait vus depuis longtemps quand ils nous les ont montrĂ©s. C’est vraiment un beau zoiso l’étourneau. LĂ , il ramassait des insectes pour les apporter Ă  ses petits. Un Ă©tourneau sansonnet Tiens, regarde Princesse comme c’est beau le Jardin des Plantes. Le grand bĂątiment du fond c’est la Grande Galerie de l’Évolution. Bonome a dit qu’il nous y emmĂšnerait un jour. Tu vois les plantes Ă  fleurs sur la foto ? A droite il y a le Buddleia. On l’appelle aussi l’arbre aux papillons parce qu’il attire beaucoup d’insectes. C’est une plante qui vient d’AmĂ©rique. Elle est arrivĂ©e au 19Ăšme siĂšcle et se plaĂźt bien en Europe. A gauche, le rose c’est le tamaris. Bonome l’a prĂ©sentĂ© aux Ă©lĂšves. Les tamaris se plaisent beaucoup pas loin de la mer et, en Ă©tĂ©, ils parfument les chemins. Pour bonome, l’odeur du tamaris, c’est l’odeur de la mer 🙂 Puis il a expliquĂ© la botanique aux Ă©lĂšves. En classe, ils avaient bien Ă©tudiĂ© la fleur et la pollinisation qui entraĂźne la transformation de la fleur en fruit qui contient une ou plusieurs graines. Il a montrĂ© tout ça Ă  partir des fleurs et des fruits de RosacĂ©es, comme les mĂ»riers. On voit bien les Ă©tamines et les pistils dans les fleurs. Et c’est facile de voir les Ă©tapes de la transformation. Sur les mures pas mĂ»rs on voit encore le style qui dĂ©passe. Mais bon, je peux pas tout rĂ©pĂ©ter dans mon blog. Surtout que bonome pouvait pas fotoer puisqu’il expliquait. AprĂšs, il a montrĂ© la famille des AstĂ©racĂ©es. J’en ai souvent parlĂ© de cette famille. Elles ont des capitules de fleurs. On a vu artichauts 🙂 Puis on a senti les plantes de la famille des LamiacĂ©es. Souvent, elles sentent bon 🙂 Il y a la mĂ©lisse, la sauge et il y avait toute une allĂ©e avec des tas d’espĂšces de menthe 🙂 J’aime beaucoup la menthe moi 🙂 Bonome en a profitĂ© pour faire rĂ©viser la dĂ©finition d’espĂšce. Je te la rappelle parce que c’est une dĂ©finition importante une espĂšce est un groupe d’individus qui se ressemblent et qui peuvent avoir une descendance fĂ©conde. C’est aprĂšs qu’on a Ă©tudiĂ© le tamaris. Et il y a eu les coccinelle 🙂 Elles ont Ă©tĂ© fotoĂ©es sur les mains des Ă©lĂšves 🙂 Deux coccinelles asiatiques On a pu discuter de la notion d’espĂšce. Parce que lĂ , elles se ressemblent pas vraiment. Mais ce sont bien deux individus de la mĂȘme espĂšce la coccinelle asiatique. En scientifique elle s’appelle Harmonia oxydris. Cette espĂšce existe sous diffĂ©rentes formes qui diffĂ©rent par le nombre de tĂąches, leur couleur et la couleur de l’élytre. Les Ă©lytres sont les ailes dures qui protĂšgent les ailes fines et membraneuses servant Ă  voler. Les coccinelles ont dĂ» comprendre qu’elles Ă©taient en prĂ©sence d’un maĂźtre et de ses Ă©lĂšves parce qu’elles ont bien montrĂ© leurs ailes avant de partir. Puis, les Ă©lĂšves ont vu un gros zoiso noir. Alors ils ont dit que c’était un corbeau. C’est une erreur frĂ©quente. Regarde Princesse ! Une corneille noire Ben oui, ce sont des corneilles noires. En ville, il y a pas des corbeaux ! En plus, le bec de la corneille est bien dans le prolongement du front et il est presque de la couleur du plumage. Alors que chez les corbeaux, le dessus du bec fait un angle net avec le front et le bec est bien plus clair que les plumes ! Et les corbeaux vivent Ă  la campagne, dans des milieux ouverts. On les voit surtout dans les champs. AprĂšs, les Ă©lĂšves ont voulu aller observer les petites mares couvertes de nĂ©nuphar. Et ils vu des grenouilles ! Oulala ! Quelle aventure ! Une grenouille Les grenouilles du Jardin des Plantes ont l’habitude de voir des zoms alors elles s’inquiĂštent pas du tout de leur prĂ©sence ce qui fait qu’on les voit trĂšs bien. On les entend aussi 🙂 Comme on Ă©tait trĂšs proches d’elle on a pu observer les sacs vocaux. Tu as vu Princesse ? On les voit bien se gonfler. C’est trĂšs impressionnant ! Et quand ils se vident, l’air fait vibrer la membrane et ça donne le cri de la grenouille. Écoute un peu ça ! a beaucoup fotoĂ© les grenouilles alors je remets une sĂ©rie de fotos 🙂 Dans la petite mare, il y avait des jolies plantes. Mais les Ă©lĂšves Ă©taient trop intĂ©ressĂ©s par les grenouilles pour qu’on puisse faire la botanique. Mais on a quand mĂȘme vu les syrphes. Les syrphes sont des mouches qui ont des rayures jaunes et noires pour faire croire qu’elles piquent. Mais elles piquent mĂȘme pas ! Un syrphe des corolle sur une fleur de nĂ©nuphar blanc LĂ , dans la fleur du nĂ©nuphar, il y avait un individu d’une espĂšce trĂšs courante Euopodes corollae, SyrphidĂ©s. On langage courant on dit le syrphe des corolle. Puis il y a eu la poule-d’eau. Une poule-d’eau D’habitude, dans les Royaumes, les poules-d’eau sont trĂšs craintives et elles se sauvent trĂšs vite. Celle-lĂ  a mĂȘme pas fait attention Ă  nous. Bonome avait demandĂ© aux Ă©lĂšves de pas faire de bruit mais quand mĂȘme ! 22 zoms juste Ă  cĂŽtĂ© d’elle et elle Ă©tait mĂȘme pas inquiĂšte ! Elle faisait sa toilette 🙂 LĂ©o a demandĂ© pourquoi ses pattes Ă©taient jaune et rouge. C’est pas normal ça. Parce que, normalement, les pattes sont verdĂątres. C’est mĂȘme l’origine de son nom en scientifique Gallinula chloropus. Chloropus ça veut dire pattes vertes. Mais bonome a pas su rĂ©pondre. C’est peut-ĂȘtre comme ça les poules-d’eau de la ville
 Les petizours LĂ , c’est nous, les petizours 🙂 On est au bord de la mare. DerriĂšre nous il y a des prĂȘles. Ce sont des plantes qui vivent dans des sols humides. Mais on a pas regardĂ© l’espĂšce prĂ©cisĂ©ment il fallait qu’on rejoigne les Ă©lĂšves
 Ils en avaient assez de la botanique les Ă©lĂšves. Plus d’une heure ! C’est long pour des petits comme ça. Alors nous sommes allĂ©s sur les escaliers de la Grande Galerie et il y a eu rĂ©crĂ©ation 🙂 Les Ă©lĂšves se sont livrĂ©s Ă  des manifestations groupales compulsives dans un espace interstitiel de libertĂ©. Princesse, si tu comprends pas la phrase prĂ©cĂ©dente il faut pas t’inquiĂ©ter. C’est du langage des pĂ©dagogues de l’Éducation Nationale. Ceux qui sont dans des bureaux quelque part. On pourrait traduire en disant que les Ă©lĂšves ont chahutĂ© pendant la rĂ©crĂ© 🙂 Nous, on en a profitĂ© pour explorer un peu. On a vu les serres
 
le jardin
 
la statue du grand Buffon et une grande vertĂšbre 🙂 On sait pas Ă  qui elle a appartenu cette vertĂšbre. Pas Ă  un petitours en tout cas ! SĂ»rement Ă  un VertĂ©brĂ©s nĂ©gligeant qui laisse traĂźner ses affaires partout et qui, maintenant, doit avoir des problĂšmes de dos 🙂 Puis, on a admirĂ© la façade de la Grande Galerie de l’Évolution. La façade de la grande galerie de l’évolution Elle est trĂšs belle cette façade, avec sa statue et ses mĂ©daillons reprĂ©sentants des grands scientifiques. Au centre, il y a la reprĂ©sentation de la Science. La reprĂ©sentation de la Science Et, de part et d’autre, il y a les profils de grands scientifiques qui ont travaillĂ© au MusĂ©um. Je les ai pas tous mis. Et puis, je peux pas t’expliquer tout ce qu’ils ont fait pour la Science. Ce serait trop long. Il y a Buffon, Cuvier et Geoffroy saint-Hilaire
 
 et le chevalier de Lamarck, Brongniart et Antoine-Laurent de Jussieu. Nous, on les connaĂźt. Tu sais que bonome nous raconte parfois des histoires, le soir, pour nous endormir. Et il aime bien nous raconter les aventures de ces grands scientifiques et tout ce qu’ils ont apportĂ© Ă  la Science. Si tu veux, je pourrais te raconter un jour. Ou alors tu peux demander Ă  Monsieur Internet. Il les connaĂźt bien aussi 🙂 Puis on est retournĂ©s avec les Ă©lĂšves. Ils continuaient leur manifestation groupale compulsive 🙂 C’est comme ça les Ă©lĂšves. Et il faut bien dire que c’est ce qu’ils prĂ©fĂšrent dans les sorties scolaires 🙂 La grande calĂšche et les manifestations groupales compulsives. Pour plaisanter, bonome dit que c’est pas la peine d’organiser des sorties compliquĂ©es. Un long trajet en grande calĂšche et un peu de libertĂ© sur une pelouse et les Ă©lĂšves sont contents 🙂 Nous, on a observĂ© un pigeon ramier qui prenait le frais les pattes dans l’eau. Un pigeon ramier Il faisait mĂȘme pas sa toilette. Il Ă©tait juste les pattes dans l’eau 🙂 Puis, bonome a fotoĂ© les Ă©lĂšves. La foto de groupe La foto de groupe ! Ils aiment bien aussi les Ă©lĂšves. Ça fait partie du rituel de la sortie scolaire 🙂 Une statue d’ours par un artiste Les arĂšnes de LutĂšce
 Ensuite, bonome s’est dit qu’on pouvait tourister un peu dans la Ville-Capitale. Teddy savait pas ce que c’était tourister. Alors on lui a expliquĂ©. Tourister c’est quand on se promĂšne comme ça, les mains dans les poches, en sifflotant. C’est beaucoup plus simple que d’ĂȘtre naturaliste mais c’est intĂ©ressant quand mĂȘme. Surtout que bonome est un peu historien aussi. Il connaĂźt des tas de choses. LĂ  il avait dĂ©cidĂ© d’emmener le groupe aux arĂšnes de LutĂšce. LutĂšce, c’est l’ancien nom de la Ville-Capitale. Et on s’est mis en route. En chemin, on est passĂ©s devant la Grande MosquĂ©e de la Ville-Capitale. Elle est trĂšs belle aussi. La Grande MosquĂ©e La mosquĂ©e, c’est comme les Ă©glises pour les chrĂ©tiens mais c’est pour les musulmans. Ils vont faire la priĂšre en commun lĂ -bas, le vendredi, alors que les chrĂ©tiens vont Ă  l’église le dimanche. C’est une grande diffĂ©rence ! C’est pour ça qu’il y a eu des tas de guerres entre les chrĂ©tiens et les musulmans ! Ben oui, forcĂ©ment ! En plus, les musulmans mangent pas de porc alors que les chrĂ©tiens mangent de l’agneau Ă  PĂąques
 Enfin
 Les zoms sont comme ça. Toutes les occasions sont bonnes pour faire la guerre
 Ils sont bĂȘtes les zoms. Nous, les petizours, on s’en fiche ! On mange que du chocolat 🙂 Puis nous sommes arrivĂ©s aux arĂšnes. Il y avait d’autres groupes d’élĂšves et des estrades pour des spectacles alors bonome a pas fotoĂ©. Je peux pas te montrer les arĂšnes Princesse. Il faut pas m’en vouloir. Mais je veux bien t’y emmener un jour, si tu veux. J’ai bien retenu les explications de bonome. Les arĂšnes, ça fait pas longtemps qu’on les a dĂ©couvertes. Vers le 19Ăšme siĂšcle. Elles Ă©taient entiĂšrement recouvertes par la terre et la vĂ©gĂ©tation. Plus personne savait qu’elles existaient. Et puis, sous NapolĂ©on III, le grand Hausmann a fait des travaux partout dans la Ville-Capitale. Il a fait percer des nouvelles avenues. Et c’est lors de ces travaux que les arĂšnes ont Ă©tĂ© mises au jour. Certains voulaient les dĂ©truire pour faire des belles avenues mais elles ont Ă©tĂ© prĂ©servĂ©es. Et on peut les visiter maintenant. Comme ça, on sait comment vivaient les lutĂ©ciens de la Rome antique. Les arĂšnes, c’est comme un stade d’aujourd’hui. Il y a des gradins pour les spectateurs et un endroit, au centre, pour les spectacles. Cet endroit, souvent rond ou ovoĂŻde, est couvert de sable. Et c’est ce sable qui a donnĂ© sont nom Ă  la construction. Parce que, en grĂ©kancien, le sable se dit arĂšne. Ou quelque chose qui ressemble. Les arĂšnes de LutĂšce ont Ă©tĂ© construites au 1er siĂšcle de notre Ăšre et elles pouvaient accueillir 10 000 spectateurs. Elles servaient pour les combats de gladiateurs, les combats de fauves
 On pouvait mĂȘme transformer l’arĂšne en stade nautique pour faire des combats sur l’eau. Tu te rends compte ? Et, le soir, elles pouvaient servir pour le théùtre. La conclusion de Samuel a Ă©tĂ© que les LutĂ©ciens Ă©taient des gens bizarres qui aimaient aller voir le sang couler dans la journĂ©e et se cultiver le soir et qu’ils devaient pas aller bien dans leur tĂȘte. On a tous Ă©tĂ© d’accord. LĂ , c’est nous dans les gradins 🙂 Mais on aurait pas aimĂ© voir le sang couler dans les arĂšnes
 Oulala non ! On est pas comme ça nous ! La fontaine du grand Cuvier
 AprĂšs, on est tous retournĂ©s au Jardin des Plantes. En chemin, bonome nous a montrĂ© la jolie fontaine construite en hommage au grand Cuvier. Regarde comme elle est belle ! La fontaine du grand Cuvier C’est encore une reprĂ©sentation de la Science. Avec des tas de zanimos autour. J’aimerais pas ĂȘtre Ă  la place du lapin 🙁 À la droite de la Science, il y a une chouette. Depuis la GrĂšce Antique, la chouette est le symbole de la sagesse. Parce que les scientifiques sont des gens sages. Enfin, normalement
 Et, sous la Science, il y a des tas de zanimos qui reprĂ©sentent les grands groupes zoologiques actuels et Ă©teints. Parce que le grand Cuvier, il Ă©tait surtout zoologue et palĂ©ontologue. Sur la premiĂšre foto, tu peux voir des Mollusques. Il y a une ammonite et des cĂ©rithes. C’est pour reprĂ©senter les fossiles. Puis, il a le groupe des Reptiles. Parce que, Ă  l’époque, on savait pas que les Reptiles ça existe mĂȘme pas 🙂 On voit bien le crocodile. Mais on voit aussi que le sculpteur Ă©tait pas du tout naturaliste. Parce que sinon il aurait pas reprĂ©sentĂ© la tĂȘte du crocodile dans cette position. Il peut pas faire ça le crocodile ! Quand mĂȘme ! Monsieur le sculpteur ! Le crocodile, il a pas d’atlas et d’axis ! Il peut faire oui de la tĂȘte mais c’est tout ! Il peut pas faire non ! Et il peut pas tourner la tĂȘte comme ça ! Alors vous faites une statue en hommage Ă  un grand naturaliste et vous faites une erreur de naturaliste dĂ©butant ! C’est pas sĂ©rieux monsieur le sculpteur ! Que va dire le grand Cuvier ! Retour au Jardin des Plantes
 Puis nous sommes arrivĂ©s au Jardin des Plantes. Et bonome a prĂ©sentĂ© un arbre. Ben oui, il connaĂźt tous les arbres lui. Celui lĂ  est un peu particulier. C’est un platane plantĂ© vers 1785. L’un des plus vieux de France. Regarde ce bel arbre Princesse. Le sol a Ă©tĂ© Ă©rodĂ© alors on peut voir le sommet du systĂšme racinaire. C’est assez rare de voir ça. Ce platane appartient Ă  l’espĂšce Platanus x hispanica = P. x acerifolia. Le x dans le nom indique que c’est une espĂšce hybride. Ben oui, la nature s’en fiche des dĂ©finitions des zoms et il existe des hybrides fertiles. AprĂšs, on a vu un autre platane plantĂ© en 1785 mais celui lĂ  appartient Ă  une espĂšce pas hybride Platanus orientalis. Bonome pourrait parler des heures des platanes et de Pierre Belon 1517-1564 qui les a introduits en France. Un jour, j’écrirai un article lĂ -dessus. Puis on a vu les premiers bĂątiments du MusĂ©um, les plus anciens. Il y a le cabinet d’histoire naturelle Ă  gauche et l’amphithéùtre Ă  droite. On aperçoit aussi le long bĂątiment qui abrite l’herbier du MusĂ©um. Puis, on a refait la botanique dans le Jardin des Plantes. Mais c’est un peu normal de faire la botanique au Jardin des Plantes 🙂 Les Ă©lĂšves voulaient revoir les grenouilles alors on est retournĂ©s Ă  la petite mare. Mais cette fois, on a bien observĂ© les vĂ©gĂ©tos. Parce qu’on a avait Ă©tĂ© perturbĂ©s par un drĂŽle de nĂ©nuphar. LĂ©o en Ă©tait tout chiffonnĂ© 🙂 Regarde un peu cette fleur Princesse ! C’est pas une fleur de nĂ©nuphar ça ! Pourtant ses feuilles ressemblent Ă  celle des nĂ©nuphars. En lisant la notice, on a eu la solution ! C’est un faux nĂ©nuphar ! En fait, il appartient Ă  la famille des MĂ©nyanthacĂ©es et il s’appelle Nymphoides peltata. LĂ©o s’est dĂ©chiffonnĂ© d’un coup ! Il avait cru qu’il connaissait plus la botanique et que son cerveau avait tout fondu ! Pauvre LĂ©o ! Teddy connaĂźt pas la botanique et il comprenait pas que LĂ©o soit tout chiffonnĂ© Ă  cause d’une jolie fleur. LĂ©o lui a expliquĂ© un peu les NymphĂ©acĂ©es grĂące au nĂ©nuphar blanc. On voit bien que les NymphĂ©acĂ©es ont de nombreux pĂ©tales libres entre eux et beaucoup d’étamines. Alors que le faux nĂ©nuphar a que cinq pĂ©tales et qu’ils sont soudĂ©s. C’est pas du tout pareil ! Dans la fleur de nĂ©nuphar il y avait un autre syrphe commun lui aussi Episyrphus balteatus. Encore une mouche Ă  rayures qui fait croire qu’elle pique 🙂 LĂ , c’est nous sur le bord d’une mare 🙂 AprĂšs, on est allĂ©s voir une autre mare. Bonome a repĂ©rĂ© une jolie plante Ă  fleurs jaunes qu’il voulait prĂ©senter. Encore une de ses amies vĂ©gĂ©tos 🙂 Sur cette jolie fleur, il y avait encore un syrphe. Mais je connais pas l’espĂšce et comme j’ai gravĂ© cet article trĂšs rapidement j’ai pas eu le temps de faire des recherches approfondies. Il faut pas m’en vouloir Princesse, s’il te plaĂźt. Il y avait aussi des petits ColĂ©optĂšres inconnus puis un Episyrphus balteatus est venu lui aussi. Un syrphe ceinturĂ© sur une grande douve Cette jolie plante Ă  fleurs est la grande douve, Ranunculus linguae, RenonculacĂ©es. Les RenonculacĂ©es forment une grande famille dont je t’ai dĂ©jĂ  prĂ©sentĂ© certains membre. On en reparlera un jour. Plus loin, on a croisĂ© la delphinelle, Delphinium speciosum, une autre jolie RenonculacĂ©e. La delphinelle Puis il y a eu cette plante ! Bonome l’a tout fotoĂ©e pour la montrer Ă  Coquelicot 🙂 Une argemone Les coquelicots font partie de la famille des PapavĂ©racĂ©es. Mais je vais pas t’embĂȘter avec la botanique. Ce coquelicot blanc vient d’AmĂ©rique du sud et on l’appelle l’argemone, Argemone mexicana. Et c’est une trĂšs belle plante 🙂 Sur la foto suivante on voit une fleur dont il manque une partie des constituants et ça fait comme une coupe. Du coup, on voit bien son organisation. Le jardin alpin
 A ce moment, les Ă©lĂšves en pouvaient plus d’écouter sagement. Alors bonome les as lĂąchĂ©s dans la nature 🙂 Allez vous perdre les Ă©lĂšves comme ça je serai tranquille avec mes petitzours 🙂 » Ils ont eu quartier libre et ont repris leurs manifestations groupales compulsives 🙂 Et nous, nous sommes allĂ©s au Jardin Alpin, un petit jardin cachĂ© et trĂšs trĂšs beau. Le jardin alpin C’est LĂ©o qui a vu le premier les nĂ©nuphars rouges 🙂 Et sa mĂąchoire s’est dĂ©crochĂ©e. Teddy et Samuel se sont moquĂ©s de lui avant de voir la fleur. AprĂšs, ils sont restĂ©s cois. AprĂšs quelques instants on a eu droit Ă  une sĂ©rie de jurons canadiens que la dĂ©cence m’interdit de rĂ©pĂ©ter ici. Et on a beaucoup ri 🙂 Le panonceau ne donnait pas le nom complet de ce trĂšs beau nĂ©nuphar rouge. Il y avait juste Nymphaea Escarboucle » NympheacĂ©es. Puis on a croisĂ© des plantes carnivores. Il y a peu de plantes carnivores en France. Une demi-douzaine d’espĂšces tout au plus. Ce sont des plantes qui vivent sur des sols pauvres en azote. Alors elles prennent l’azote des zanimos. LĂ  on voit deux types de piĂšges Ă  zanimos. Il y a les outres remplies de sucs digestifs et les feuilles transformĂ©es qui se referment sur la proies. Puis on a fait une courte pause sur des Ă©boulis calcaires. Ensuite, on a vu des plantes adaptĂ©es Ă  la sĂ©cheresse. LĂ , tu peux voir des agaves, des aloĂ©s et les Opuntias. Elles appartiennent Ă  trois familles diffĂ©rentes. Je vais pas tout expliquer, ce serait trop long. Mais si tu veux, tu peux poser des questions Princesse et je t’y rĂ©pondrai. J’ai mis les fotos parce que je les trouve trĂšs belles ces plantes. MĂȘme si elles piquent ! AĂŻe ouille ! Mais on a pas pu rester longtemps dans le jardin alpin. Il fallait retourner auprĂšs des Ă©lĂšves. En chemin on a revu les serres. Les serres Et on a nĂ©gociĂ© une visite cette Ă©tĂ© 🙂 Mais sans les Ă©lĂšves 🙂 Puis, bonome a refait le chien de berger pour rassembler le troupeau et le conduire Ă  la Galerie d’Anatomie ComparĂ©e et de PalĂ©ontologie. En chemin, on a vu un gigantesque hĂŽtel pour insectes. Un hĂŽtel Ă  insectes Il faudrait qu’on en construise un pour mettre Ă  la schola
 Je vais essayer d’en parler Ă  la directrice un jour
 Puis, on est passĂ© le long de la mĂ©nagerie et on a vu lui 🙂 Un panda roux Un panda roux ! Tu te doutes que LĂ©o a rholalaĂ© et que Samuel a jurĂ© en canadien 🙂 Teddy a beaucoup rigolĂ© 🙂 Mais il Ă©tait trĂšs impressionnĂ© lui aussi. Le panda roux est pas un panda. Il est le seul reprĂ©sentant actuel de sa famille les AiluridĂ©s. En scientifique, il s’appelle Ailurus fulgens. Le panda roux est bambouvore 🙂 Les jeunes pousses de bambou reprĂ©sentent 80 % de son alimentation. Mais il peut manger des insectes et mĂȘme des oisillons. Mais on le laissera pas faire ! ÇavapalatĂȘte ! Il faut pas manger des oisillons ! Comme les pandas, le panda roux a comme un sixiĂšme doigt. Mais c’est pas vraiment un doigt. C’est un os du poignet qui est trĂšs dĂ©veloppĂ© et qui aide Ă  tenir le manger pour le porter Ă  la bouche. C’est Ă  cause de ça que pendant longtemps le panda roux a Ă©tĂ© classĂ© dans la famille du panda. Mais c’était une erreur. C’est la gĂ©nĂ©tique qui a permis de le prouver. AprĂšs plusieurs minutes d’observation du panda roux, on a repris le chemin de la galerie. La Galerie d’Anatomie ComparĂ©e
 Normalement c’était visite libre. Mais avec des petits comme les sixiĂšmes c’est pas une bonne idĂ©e. Alors bonome a dĂ©cidĂ© de faire le guide, de laisser les Ă©lĂšves libres, de faire le guide, de laisser les Ă©lĂšves libres et ainsi de suite. Dans la Galerie d’Anatomie, il y a beaucoup des squelettes. Mais il y a aussi l’anatomie interne. Je vais pas tout expliquer Princesse. Si tu veux, un jour, bonome te fera la visite. La galerie d’anatomie comparĂ©e D’abord bonome a prĂ©sentĂ© les cinq grands groupes de VertĂ©brĂ©s comme on les prĂ©sentait au siĂšcle dernier les Poissons, les Amphibiens, les Reptiles, les Zoisos et les MammifĂšres. Il faut plus enseigner ça mais la Galerie montre la science comme elle Ă©tait au moment de sa crĂ©ation. AprĂšs, il a parlĂ© de l’organisation du squelette des VertĂ©brĂ©s et du membre chiridien. C’est rigolo de voir que les os d’un membre supĂ©rieur humain sont les mĂȘmes que ceux d’une chauve-souris, d’un chien ou d’une baleine 🙂 On a vu des crocodiles, des tortues, des serpents
 Ou plutĂŽt leur squelette. Et des tas de zanimos. Puis il y a eu temps libre pour les Ă©lĂšves. Moi j’ai fait un selfie 🙂 Le selfie de Max Et puis on est allĂ©s voir les zoisos 🙂 En passant, bonome a fotoĂ© des crĂąnes d’otaries. Je sais pas pourquoi. Puis il m’a dit qu’il voulait que je mette les fotos dans mon blog. Sans me dire pourquoi. Comme je suis un gentil petitours je fais ce qu’il m’a demandĂ©. Voici donc les crĂąnes d’otaries Princesse. Des cranes d’otaries Et lĂ , c’est la vitrine des zoisos 🙂 La vitrine des zoisos LĂ , ce sont les ThreskiornithidĂ©s. Je t’en ai dĂ©jĂ  parlĂ©. Il y a les spatules et les ibis. A droite il y a une spatule blanche. On l’avait jamais vu comme ça 🙂 Puis j’ai demandĂ© Ă  bonome de tout fotoer. Comme ça, on pourra Ă©tudier dans la cabane. Ci-dessous, tu peux voir le crĂąne de d’une autruche, celui d’un casoar, d’un flamant rose et d’un toucan. Des cranes de zoisos MĂȘme en squelette, c’est beau un zoiso 🙂 Puis on est allĂ©s voir les CĂ©tacĂ©s. C’est Teddy qui voulait. LĂ©o a expliquĂ© que les CĂ©tacĂ©s sont frĂ©quents sur les cĂŽtes du Canada mais qu’il en a jamais vu quand mĂȘme. ForcĂ©ment, il vient du zoo du Lac Saint Jean ! Les CĂ©tacĂ©s sont des MammifĂšres marins. Ce sont pas des poissons. Pas du tout mĂȘme ! Bonome nous a expliquĂ© que, vers 50 millions d’annĂ©es avant nos jours, il existait un zanimo appelĂ© Pakicetus. Ce zanimos vivaient en bord de mer. Et il est Ă  l’origine du groupe des CĂ©tacĂ©s. Mais il est aussi Ă  l’origine des hyĂšnes ! Tu te rends compte Princesse ! Ça veut dire que les CĂ©tacĂ©s et les hyĂšnes sont cousins ! Rholala ! C’est bien d’apprendre des choses comme ça ! Puis la baleine nous a dit que c’était trop long comme exposĂ©. C’est assez » nous dĂźt la baleine ! Puis bonome a rassemblĂ© le troupeau et nous sommes montĂ©s tous ensemble Ă  la Galerie de PalĂ©ontologie. En montant, il y a un balcon qui permet de voir toute la galerie d’anatomie comparĂ©e. LĂ , j’ai seulement mis le cĂŽtĂ© oĂč il y a les CĂ©tacĂ©s. La Galerie de PalĂ©ontologie
 En palĂ©ontologie, bonome a fait court pour les Ă©lĂšves. Il a expliquĂ© la fossilisation et quelques groupes comme ça. Il a montrĂ© un crocodiliens des temps anciens Sarcosuchus imperator. Un petit crocodile de seulement 15 mĂštres de long 🙂 Il date d’il y a 112 millions d’annĂ©es Ă  l’époque du CrĂ©tacĂ©. Il en a profitĂ© pour nous annoncer officiellement que cet Ă©tĂ© il nous emmĂšnerait dans les Alpes pour voir des traces fossiles qui datent du Trias vers 210 millions d’annĂ©es. A ce qu’il parait, il y a des empreintes de Protosuchus, un ancĂȘtre des crocodiles ! LĂ©o a failli s’évanouir. Je crois bien que Teddy aimerait venir avec nous. Puis on a vu le Triceratops. Je te le montrerai plus tard. Mais les Ă©lĂšves, ils voulaient surtout voir les dinosaures puis s’asseoir sur un banc pour papoter. Parce que la sortie scolaire ça les Ă©puise. A ce moment lĂ , ils Ă©taient plus vraiment capables de suivre des explications. Alors il ont eu un nouveau quartier libre. Et nous, on a visitĂ©. Bonome a filĂ© voir des zanimos bizarres du DĂ©vonien. Le DĂ©vonien c’était entre 410 et 365 millions d’annĂ©es avant nos jours. Bonome avait dĂ©jĂ  600 millions d’annĂ©es Ă  l’époque 🙂 Tu aurais dĂ» le voir dans le musĂ©e. Il faisait semblant d’ĂȘtre calme mais il jubilait. Venez je vais vous montrer les ostracodermes et les placodermes. Botriolepis ! CĂ©phalaspis ! Regardez moi ça ! Comme c’est beau ! Et Dunkleosteus ! » Oui, parce qu’il a pas besoin de lire les Ă©tiquettes pour reconnaĂźtre les fossiles ! Bonome, il les connaĂźt tous ! ForcĂ©ment, il les a vu naĂźtre ! Quand je pense qu’il a nagĂ© dans les mĂȘme eaux que Dunkleosteus ! Il pouvait mesurer 10 mĂštres de long Dunkleostus ! Regarde un peu ce zanimos Princesse ! Dunkleosteus La quatriĂšme foto montre une reconstitution. Il avait pas des os Ă  l’arriĂšre du corps Dunkleosteus. Mais il aurait pu couper bonome en deux d’un seul coup de mĂąchoire ! Parce que Dunkleosteus il avait une mĂąchoire ce qui n’est pas le cas des autres que j’ai citĂ© Brotriolepis et Cephalaspis. Les voici Botriolepsis et cĂ©phalaspis Puis, il tenait absolument Ă  nous prĂ©senter Eryops megacephalus. C’est presqu’un amphibiens mais pas vraiment. Il date du Permien. C’était entre 295 et 248 millions d’annĂ©es avant nos jours. Eryops megalocephalus Cette reconstitution est un peu fausse. En rĂ©alitĂ©, on a dĂ©couvert aprĂšs qu’il avait que quatre doigts Ă  la main ce zanimo. Bonome, il aime beaucoup Eryops. Ils ont sĂ»rement Ă©tĂ© amis autrefois 🙂 Mais moi, je voulais voir les dinosaures ! Alors il nous en a prĂ©sentĂ© quelques uns. Je peux pas expliquer ce que c’est un dinosaures parce que c’est compliquĂ©. D’aprĂšs les scientifiques, on appelle dinosaures tous les zanimos qui, dans un arbre phylogĂ©nique, se situent entre le triceratops et la mĂ©sange bleue. Mais ça, c’est une dĂ©finition de scientifique que personne comprend. Comme il y a un triceratops dans la galerie, ça nous a donnĂ© l’occasion d’aller voir les dinosaures 🙂 Le triceratops date du CretacĂ©. En vrai, des triceratops il y en a eu beaucoup d’espĂšces pendant longtemps. Certaines avaient une seule cornes, d’autres deux, trois ou mĂȘme cinq ! Tous ont une collerette osseuse. Et leur grande particularitĂ© est d’avoir le crĂąne qui s’articule sur la colonne vertĂ©brale par une boule. Regarde. Le crane d’un TricĂ©ratopsidĂ© Cette boule permet Ă  la tĂȘte de tourner dans tous les sens. Les TriceratopsidĂ©s Ă©taient de paisibles herbivores dans un monde de brutes peuplĂ© de redoutables prĂ©dateurs. Ils avaient juste leurs cornes pour se dĂ©fendre. Alors c’était vraiment une bonne idĂ©e de pouvoir tourner la tĂȘte dans tous les sens pour pouvoir se dĂ©fendre. Les recherches actuelles montrent que les mĂąles avaient des couleurs trĂšs voyantes au niveau de la collerette au moment de la parade. Pour plaire aux femelles 🙂 Parmi les redoutables prĂ©dateurs il y avait les allosaures. Je me souviens plus de quand ils datent les allosaures. Tant pis. Regarde un peu ces dents ! Un allosaure Ils sont proches des tyrannosaures que tout le monde connaĂźt. Il y a juste un crĂąne de tyrannosaure ici. Bonome l’a fotoĂ©e mais la foto est floue alors je te la montre pas. A la fin du CrĂ©tacĂ©, vers 70 millions d’annĂ©es, il y avait aussi Carnotaurus sastrei. Un autre redoutable prĂ©dateur. Un carnotaurus On voit qu’il a deux excroissances osseuses sur le sommet de son crane. C’est ce caractĂšre qui lui a donnĂ© son nom reptile Ă  tĂȘte de taureau 🙂 Et dire que bonome a connu l’époque des dinosaures ! Puis bonome a voulu nous montrer quelques MammifĂšres de l’ùre tertiaire. Il nous a dit Venez voir le Glyptodon. Vous allez l’aimer 🙂 » Un glyptodon C’est un gros zanimos qui a une groooosse carapaces formĂ©es d’os dermiques. C’est rigolo 🙂 Puis il nous a montrĂ© le mammouth. Tout le monde connaĂźt les mammouths. Mais peu de gens savent que c’est probablement la dĂ©couverte de leur crane fossile qui est Ă  l’origine du mythe des cyclope. Regarde un peu son crane Princesse. Un mammouth Tu vois le gros trou au milieu ? Ben oui, tu es pas aveugle. C’est la trompe qui arrive lĂ . La trompe, c’est le nez des Proboscidiens c’est le groupe des Ă©lĂ©phants. Et il y a un trou dans le crane pour laisser passer tous les nerfs, les vaisseaux sanguins
 Par contre, on voit pas bien les orbites qui sont sur le cĂŽtĂ©. Alors, sans les dĂ©fenses, on peut croire qu’il n’y a qu’une seule orbite centrale. D’oĂč le mythe des cyclopes 🙂 Il en connaĂźt des choses bonome 🙂 Teddy Ă©tait trĂšs impressionnĂ©. Le dernier zanimos qu’il voulait nous montrer Ă©tait le MĂ©gacĂ©ros. C’est comme un cerf mais gigantesque. Un mĂ©gacĂ©ros Il mesure trĂšs haut de haut et ses bois peuvent atteindre plus de trois mĂštres d’envergure. Et ça, c’est embĂȘtant quand on se promĂšne en forĂȘt parce qu’on passe plus entre les arbres. Ben voilĂ  ! C’est ça de vouloir draguer les femelles en se laissant pousser les cornes ! AprĂšs ça, bonome a de nouveau rassemblĂ© le troupeau pour le mener Ă  l’étage du dessus. La galerie de palĂ©ontologie LĂ  haut, il y a les InvertĂ©brĂ©s. Il faudrait pas dire les InvertĂ©brĂ©s parce qu’en systĂ©matique il faut pas utiliser des critĂšres nĂ©gatifs. N’empĂȘche que c’est bien pratique comme mot. Les Ă©lĂšves en pouvaient plus. Ils Ă©taient tout fatiguĂ©s. Alors bonome a mĂȘme pas fait de visite guidĂ©e. Il les a laissĂ©s libres. Et nous, on a visitĂ© 🙂 On a vu les Echinodermes
 Des Ă©chinodermes fossiles MĂȘme qu’il y avait un beau fossiles des racines des crinoĂŻdes datant du Silurien environ 435 Ă  408 millions d’annĂ©es. Un crampon de crinoĂŻde datant du Silurien Puis LĂ©o a voulu faire des selfies 🙂 C’est rare qu’il veuille se faire fotoer. Je crois que c’était pour se moquer de moi 🙂 Mais je les mets quand mĂȘme 🙂 Puis on est allĂ©s voir les ammonites. Les petizours parmi les ammonites C’est LĂ©o qui a expliquĂ© les ammonites Ă  Teddy. Nous, on connaĂźt. On en a trouvĂ© en Normandie 🙂 Puis il a fallu partir. Il y a eu un nouveau rassemblement du troupeau. En descendant les escaliers on a eu une drĂŽle de surprise. Bonome s’attendait Ă  nos rĂ©actions. Et il a rigolĂ© quand on l’a vue ! Regarde un peu cette ammonite Princesse ! Une Ă©noooorme ammonite 🙂 Elle fait beaucoup de petizours ! Les ammonites sont des CĂ©phalopodes. Elles ont donc des tentacules couverts de ventouses autour de la bouche. Ils leur servent Ă  attraper leurs proies et Ă  les porter Ă  la bouche. A leur bec plutĂŽt. Parce qu’elles ont un bec qui ressemble Ă  un bec de perroquet. Pour faire simple, les tentacules ont une longueur Ă©quivalente au diamĂštre de la coquille. Tu imagines un peu ? Rholala ! Et bonome dit que les plus grandes ammonites dĂ©couvertes ont un diamĂštre de 3 mĂštres 50 cm ! Je sais pas comment il fait pour survivre dans les mers de l’ùre secondaire peuplĂ©es de tas d’ammonites. Mais bon, il survit depuis un milliards d’annĂ©es maintenant
 Le retour
 VoilĂ , c’est la fin de la visite. On est retournĂ©s Ă  la grande calĂšche. Les Ă©lĂšves Ă©taient trĂšs agitĂ©s dans la grande calĂšche. C’était Ă  cause de la fatigue. Nous on a papotĂ©. Regarde 🙂 Teddy nous a posĂ© des tas de questions. Il aime beaucoup la nature Teddy. C’est notre copain 🙂 Mais on a pas fait que papotĂ©. Bonome nous signalait les beaux bĂątiments de la Ville-Capitale la Grand Eglise
 La Grand Eglise Notre Dame 
 la prĂ©fecture de police, le Louvre, l’AssemblĂ©e Nationale et la Place de la Concorde
 Puis on est revenus Ă  la schola et c’était la fin de la sortie scolaire. On a dit au revoir Ă  Teddy et on est rentrĂ©s. Au retour, on a regardĂ© les fotos. Bonome en a pas fait beaucoup Ă  peine plus de 500 🙂 Mais il avait pas que ça Ă  faire. Il devait faire le chien de berger et le guide. Tu vois Princesse, bonome a fait le guide au MusĂ©um 🙂 C’est vraiment un grand chevalier ce bonome. Je t’embrasse Princesse, et j’espĂšre que tu vas bien. PubliĂ© le 20/08/2012 Ă  0548 Faire fuir les Ă©tourneaux qui se rassemblent en masse dans les platanes de l'Esplanade, telle est la mission que l'Ă©ffaroucheur Jean-Marie Magnien va remplir dans les nuits du 20 au 24 aoĂ»t prochains. Ces oiseaux qui vivent en imposantes colonies salissent le sol de l'esplanade avec leurs fientes qui sont par ailleurs nocives pour les platanes et pour les humains. Jean-Marie Magnien travaille avec des rapaces. Ceux-ci vont effrayer les Ă©tourneaux par leurs passages rĂ©pĂ©tĂ©s, au crĂ©puscule lorsque les oiseaux se posent pour la nuit, en pleine nuit et au petit but est qu'Ă  force, les Ă©tourneaux fuient notre ville en partant en migration plus vite et qu'Ă  l'avenir, ils choisissent un autre endroit pour s' vous voulez assister Ă  ce travail particulier, l'Ă©ffaroucheur Jean-Marie Magnien, interviendra Ă  la tombĂ©e de la nuit vers 20 heures, dans la nuit et Ă  l'aube vers 5 heures, en savoir plus PubliĂ© par GwenaĂ«lle Le Ny le 06 novembre 2019 Ă  21h34 Cerys, une buse de Harris ĂągĂ©e de 18 ans, ici avec son dresseur Franck, sera l’un des rapaces Ă  intervenir pour effaroucher les Ă©tourneaux. Le TĂ©lĂ©gramme/GwĂ©naĂ«lle Le Ny Face aux nuisances rĂ©pĂ©tĂ©es causĂ©es par l’installation nocturne des Ă©tourneaux dans son centre, la Ville de Saint-Brieuc a dĂ©cidĂ© d’innover cet automne pour effaroucher les oiseaux. Pour la premiĂšre fois, elle fait appel aux services d’un fauconnier. La nuit est Ă  peine tombĂ©e, ce mercredi, que les nuĂ©es d’étourneaux tournoient dans le ciel briochin. Dans un grand bruit, comme chaque soir en cette pĂ©riode de l’annĂ©e. ConsĂ©quence de la baisse des tempĂ©ratures la colonie d’oiseaux migrateurs cherche la chaleur du centre-ville pour passer la nuit. Depuis des annĂ©es, Saint-Brieuc, comme tant d’autres villes, essuie les nuisances occasionnĂ©es par ces volatiles le bruit, l’odeur, les fientes qui maculent les Ă  sons qui reproduisent les cris d’oiseaux en dĂ©tresse suivis de cris de rapaces, ballons gĂ©ants, fusĂ©es crĂ©pitantes Je crois qu’on a essayĂ© tout ce qui se fait en matiĂšre d’effarouchement », indique Cyril Kerhardy, du service environnement. Mais les oiseaux s’habituent, identifiant qu’il n’y a pas de danger et reviennent prendre place. On est allĂ© au bout du bout », indique Louise-Anne Gautier, adjointe Ă  l’environnement qui estime Ă  8 000 € le coĂ»t pour la Ville, l’an dernier, entre l’achat de matĂ©riel et le nettoyage des places souillĂ©es. D’oĂč l’idĂ©e d’expĂ©rimenter le travail avec un la tombĂ©e du jour, les Ă©tourneaux viennent chercher la chaleur des centres-villes pour y passer la nuit. Le TĂ©lĂ©gramme/GwĂ©naĂ«lle Le NyLe travail diffĂ©rent selon les lieuxDu haut de ses 45 cm, Cerys, une buse de Harris, impressionne dĂ©jĂ . Ce mercredi, Ă  la nuit tombante, le rapace et son fauconnier ont fait un premier repĂ©rage des lieux concernĂ©s. La Ville a fait appel aux services de Paul et Eleri Johnson, de la Fauconnerie Bretagne, installĂ©e dans le FinistĂšre depuis seize ans. À eux deux, ils cumulent plus de 60 ans d’expĂ©rience dans le dressage et le travail des oiseaux de proie. Dans les Ă©glises, les aĂ©roports, parfois pour des entreprises privĂ©es, notamment dans le secteur de l’agroalimentaire, ils interviennent un peu partout en France, pour faire fuir les indĂ©sirables, sur dĂ©rogation prĂ©fectorale s’agissant d’espĂšces protĂ©gĂ©es comme les goĂ©lands par exemple. La seule prĂ©sence du rapace peut suffire, sans le faire voler. »Avec le recours Ă  la fauconnerie, il n’est question ni de chasser ni de tuer les Ă©tourneaux. Le fauconnier emploie diffĂ©rentes techniques, comme des filets, faire du bruit, installer des miroirs ou des piques. Le travail est diffĂ©rent selon les lieux, la seule constante est de chercher Ă  effrayer », indique Franck, l’associĂ© du couple. Les vols d’oiseaux ne sont pas systĂ©matiques, non plus. La seule prĂ©sence du rapace peut suffire. Les Ă©tourneaux le voient, le sentent, prennent peur et se passent entre eux le message de la prĂ©sence du prĂ©dateur, ce qui les pousse Ă  fuir pour s’installer ailleurs », indique Eleri vols de rapace et le laserÀ Saint-Brieuc, durant l’expĂ©rimentation, des rondes nocturnes seront effectuĂ©es par les fauconniers en diffĂ©rents lieux de la ville pour voir comment rĂ©agit la colonie d’étourneaux. On va travailler au laser, ce qui permet dĂ©jĂ  de les mettre dans un Ă©tat d’insĂ©curitĂ© ». Des vols de rapace d’arbre en arbre seront organisĂ©s Ă  certaines heures du jour. La prĂ©sence d’arbres touffus, comme la lumiĂšre permanente dans la ville, c’est un appel pour les Ă©tourneaux et cela nous pose des difficultĂ©s », indique Paul Johnson qui recommande l’élagage ou un Ă©claircissement. Ce qui n’empĂȘche pas d’obtenir des rĂ©sultats si l’effarouchement, d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, ne fait que dĂ©placer le problĂšme. Au TĂ©lĂ©gramme depuis mars 1999. A travaillĂ© Ă  l'Ă©dition des locales Ă  Morlaix et Ă  Lorient, puis sur le terrain Ă  ChĂąteaulin. RattachĂ©e Ă  Saint-Brieuc depuis 2015, oĂč j'alterne Ă©dition et rĂ©daction. Profiter du chant des oiseaux est certes trĂšs agrĂ©able, mais tout dĂ©pend desquels. Et pour cause, lorsque des pies dĂ©cident d’investir le jardin, on prĂ©fĂšrerait les voir dĂ©camper. Outre leur cri qui est tout sauf harmonieux, ces grands oiseaux au plumage blanc et noir ont Ă  leur actif de nombreux dĂ©fauts. Ils sont non seulement des prĂ©dateurs terribles, mais ils s’attaquent Ă©galement au potager, au verger, ou peuvent dĂ©tĂ©riorer vos menuiseries. Pour toutes ces raisons, vous prĂ©fĂ©rez les tenir Ă  distance de votre terrain. Nous vous proposons donc de dĂ©couvrir comment procĂ©der. © istock DiffĂ©rentes raisons de repousser les pies La pie est un indĂ©sirable. En effet, son comportement peut vous pousser Ă  souhaiter vous en dĂ©barrasser. C’est un oiseau qui adore le verger, ainsi que le potager. Les pies vont donc venir picorer vos jeunes plants ou vos semis. Elles ont une prĂ©fĂ©rence pour les fraises et les tomates bien mĂ»res. Le jus de ces fruits leur permet ainsi de se dĂ©saltĂ©rer. Sur les cerisiers, elles peuvent dĂ©vaster une rĂ©colte en rien de temps, mais elles peuvent aussi s’en prendre Ă  vos groseilliers, vos framboisiers, vos pruniers, vos pommiers, etc.. De plus, les pies ont la rĂ©putation d’ĂȘtre des prĂ©dateurs, car elles s'en prennent aux oiseaux plus petits. Pour atteindre les Ɠufs dont elles se nourrissent, elles peuvent dĂ©truire les nids . Enfin, elles peuvent venir picorer les joints de vos portes et fenĂȘtres et ainsi les dĂ©tĂ©riorer. Voici donc toutes les raisons pour lesquelles il n’est pas recommandĂ© de laisser les pies s’installer dans votre jardin et qu’il est prĂ©fĂ©rable de l’en tenir Ă©loignĂ©e. Il est possible de se dĂ©barrasser des pies de façon assez simple en optant pour une ou plusieurs des solutions proposĂ©es ci-dessous en fonction de ce que vous avez Ă  disposition. Les Ă©lĂ©ments qui bougent et qui reflĂštent les rayons du soleil sont une bonne solution pour faire fuir les pies. Vous pouvez donc, par exemple, suspendre les rubans magnĂ©tiques des vieilles cassettes. Pour cela, il suffit de dĂ©monter et de torsader le ruban, puis de le fixer solidement. Dans le mĂȘme esprit, si vous n’avez pas de vieilles cassettes, il est possible d’avoir recours Ă  de vieux CD. Il suffit de les suspendre dans un arbre, sur votre clĂŽture ou tout autre support. L’air va les faire tourner et les rayons du soleil s’y reflĂ©ter repoussant ainsi les pies. Une autre option consiste Ă  utiliser des ballons gonflables. Il est prĂ©fĂ©rable de privilĂ©gier ceux de couleur jaune. Il faut alors les suspendre de maniĂšre Ă  ce qu’ils bougent au rythme du vent. Avec un marker noir, il est possible d’ajouter de grands yeux noirs dessus. Toutefois, cette solution a le dĂ©savantage de ne pas ĂȘtre trĂšs Ă©cologique, car la durĂ©e de vie de ces ballons est assez courte et ils risquent de s’envoler dans la nature. Le bruit va permettre de les Ă©loigner de façon ponctuelle. Vous pouvez donc utiliser un poste de radio que vous laisserez allumĂ©. Il faut alors l’installer Ă  proximitĂ© de l’endroit que vous dĂ©sirez protĂ©ger. Enfin, il est possible de procĂ©der Ă  la rĂ©alisation d’un rĂ©pulsif. Voici comment procĂ©der versez de l’eau dans un rĂ©cipient ; incorporez de l’ail prĂ©alablement Ă©crasĂ© dans l’eau ; enfin, ajoutez du piment de cayenne en poudre ; transvasez ensuite le mĂ©lange dans un pulvĂ©risateur et vaporisez-le sur les plantes Ă  protĂ©ger. Quelle que soit la solution pour laquelle vous optez, il sera nĂ©cessaire de la changer de façon rĂ©guliĂšre. En effet, au dĂ©but, la pie va effectivement ĂȘtre dĂ©rangĂ©e, mais ensuite, elle va s’y habituer et reprendre son train-train comme avant. Pour conserver l’efficacitĂ© des effaroucheurs, qu'ils soient sonores ou visuels, vous pouvez Ă©galement les dĂ©placer ou les utiliser par alternance. Dans certains dĂ©partements, il est possible de tuer les pies, mais pour cela, veillez Ă  vous renseigner au prĂ©alable. © istock Ne pas nourrir les pies Pour Ă©viter d’attirer les pies, il est nĂ©cessaire d’ĂȘtre vigilant sur la nourriture. En effet, plus la pie aura accĂšs Ă  celle-ci, moins vous aurez de chance de vous en dĂ©barrasser. Vous pouvez donc rĂ©duire la quantitĂ© de nourriture Ă  leur portĂ©e, voire, si possible, la supprimer totalement. Si vous avez des mangeoires, placez-les de sorte Ă  ce qu’elles ne soient accessibles qu’aux petits oiseaux. Évitez donc de les installer trop en hauteur dans les arbres, puisque c’est lĂ  que les pies seront le plus Ă  l’aise. DĂ©placez rĂ©guliĂšrement les mangeoires que vous installez pour les petits oiseaux. Vous pouvez trouver dans le commerce des mangeoires Ă©quipĂ©es d’une grille anti-Ă©tourneaux qui permettent aux petits oiseaux de manger tranquillement sans que les pies ne puissent accĂ©der Ă  leur nourriture. Il est Ă©galement possible d’installer des points d’eau. De cette façon, elles souffriront moins de la soif et, en consĂ©quence, seront moins tentĂ©es de s’attaquer Ă  vos tomates ou Ă  vos fruits pour se dĂ©saltĂ©rer. Lorsque la pie verra que la nourriture est absente ou trop compliquĂ©e d’accĂšs, il est fort probable qu’elle partira en quĂȘte d’un autre endroit qui lui conviendra mieux. RĂ©pulsifs anti-oiseaux Dans le commerce, vous pouvez Ă©galement acheter divers rĂ©pulsifs anti-oiseaux. Voici quelques exemples de ce que vous pouvez trouver des sprays ou des granulĂ©s qui sont rĂ©alisĂ©s Ă  base d’extraits minĂ©raux ou d’essences naturelles, telles que le lavandin, qui vont leur dĂ©plaire ; des cerfs-volants Ă  installer en hauteur sur des mĂąts pour Ă©loigner les pies. Ils sont gĂ©nĂ©ralement en forme de rapace pour les effrayer ; des effaroucheurs en bobine il s'agit d’une bande de polypropylĂšne prĂ©sentĂ©e en bobine et que vous devez tendre entre deux poteaux. L’air qui passe sur la bande entraĂźne l’émission de vibrations dont la pie a peur ; des appareils Ă  ultrasons contre les oiseaux. Cette solution est Ă©galement assez efficace. L’appareil Ă©met des sons qui ne sont audibles que par les oiseaux et qui les font fuir. Il est Ă  noter que l’utilisation de ces dispositifs peut, dans certains cas, Ă©loigner Ă©galement les plus petits oiseaux. Il faut donc bien rĂ©flĂ©chir au lieu oĂč les placer pour continuer de profiter du chant des autres oiseaux. Pratique ConseilsChaque annĂ©e au printemps et en Ă©tĂ©, de nombreux visiteurs nous demandent que faire avec l'oisillon qu'ils ont recueilli que lui donner Ă  manger ? Comment le nourrir, Ă  quel rythme et jusqu'Ă  quand ?22/08/2021 Non soumis au comitĂ© de lectureOisillon de Roselin familier Haemorhous mexicanus recueilli et nourri Ă  la main des restes de son repas sont visibles sur sa poitrine. Photographie Audrey/ Wikimedia CommonsIntroductionLorsque l’on trouve dans la nature un oisillon tombĂ© du nid il faut Ă©viter au maximum d’intervenir et essayer de le replacer dans son nid, ou au moins le placer en sĂ©curitĂ© Ă  proximitĂ©, afin que les parents puissent continuer Ă  s’en occuper. Toutefois, en cas de danger imminent ou si le nid a Ă©tĂ© dĂ©truit et que ses parents sont visiblement partis, il sera nĂ©cessaire de l’aider. Si vous n’arrivez pas Ă  joindre un centre de soins, qu’il est conseillĂ© de contacter au prĂ©alable, il faudra le nourrir vous-mĂȘme. Dans cet article, aprĂšs quelques rappels importants sur le nourrissage et l’hydratation des oisillons, nous vous indiquons comment reconnaĂźtre ceux de certaines espĂšces. Nous dĂ©crivons aussi un rĂ©gime de base valable pour les oisillons d’espĂšces insectivores et de granivores, ainsi que quelques exemples de recettes. Enfin, nous apportons des prĂ©cisions sur le rythme de nourrissage et sa one finds a baby bird that has fallen from the nest in the wild, it is necessary to avoid as much as possible to intervene and to try to replace it in its nest, or at least to place it in safety nearby, so that the parents can continue to feed it. However, in the event of imminent danger or if the nest has been destroyed and its parents are visibly gone, it will be necessary to help it. If you cannot reach a care center, which it is advisable to contact first, you will have to feed it yourself. In this article, after some important reminders on the feeding and hydration of cbaby birds, we show you how to recognize those of certain species. We also describe a basic diet valid for chicks of insectivorous and seed-eating species, as well as some sample recipes. Finally, we provide details on the feeding rate and its devez vous connecter pour consulter cet article Se connecterPoursuivez la lecture de cet article, en vous abonnant dĂšs maintenant !DĂ©couvrez les Archives d’ seulement 10,00 €TTC/an ou 6,00 € les 6 moisProfitez de plusieurs centaines d’articles en accĂšs illimitĂ© et sans aucun cookies gĂ©nĂ©rĂ©s par ne servent qu'Ă  amĂ©liorer votre navigation et l'utilisation de nos services, Ă  partager des articles sur vos rĂ©seaux sociaux si vous le dĂ©sirez, ainsi qu'Ă  mesurer notre audience. Ils ne sont pas utilisĂ©s pour alimenter de la publicitĂ© ciblĂ©e. 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